Je suis parvenue, je crois, souvent, à sortir de cette boulimie de travail. De ce rythme effréné qui ne me convient pas et que je n'accepte désormais plus. Et puis parfois, quelqu’un me re-balance dans la roue du hamster. C'est épidermique, je ne peux plus. Je ne peux pas vivre comme ça. Je ne veux pas. Stressée, dans l'hyper-activité constante. J'aime la douceur, la sérénité. Je ne pense pas que ça implique travailler moins, moins bien ou avoir moins de responsabilités. Mais juste le nécessaire pour ne pas décompenser et rester éveillé aux choses. Pas besoin de courir pour vivre. Prendre le temps de faire bien, de sentir."
C'est aussi ça que nous propose ce confinement ; des temps d'introspection pour penser le monde qui nous va, celui dans lequel on aimerait vivre et peut-être même le construire, commencer à le rêver, à l'envisager, à en poser les bases.
Trouver sa juste place.
Je me permets de partager ça avec vous, comme un cadeau. Merci de l'accueil que vous pourrez y accorder. Que ce partage vous apporte un sourire, un froncement de sourcil, de l'incompréhension ou de la réflexion, c’est votre chemin.
Portez vous bien et prenez soin de vous.
